Animateur star de l’émission télé « Starvan », Andry Zo Rakotomalala est également un grand fêtard. Il nous livre ses bons plans dans la capitale.
Votre resto favori ?
Gourmandise à Itoasy, à côté du terminus Cité. Un restaurant avec une cuisine de dingue : steak, soupe et tous les plats à base de panure. J’ai peur de grossir !
Votre plat préféré ?
Henomby ritra (viande de zébu mijotée). On m’a conseillé de manger une gousse d’ail pour ne pas tomber malade vu que j’adore ça !
Votre boisson fétiche ?
Rhum arrangé gingembre et cannelle. Mais avec modération !
Vos hobbies ?
Faire la fête avec mes potes et rire comme un fou !
Un endroit pour faire du shopping ?
Vidot Boutique à Ananimena. Dès qu’il y a du nouveau, je suis le premier au courant.
Les meilleurs plans pour un apéro ou pour terminer la soirée ?
Pour un apéro, au D-Jess à Ampandrana qui est devenu notre QG. Pour terminer la soirée, sans hésiter, au no comment® bar à Isoraka
Les meilleurs plans pour les vacances ?
Toamasina. I Love Tamatave. Enormément.
L’événement culturel qui vous a marqué ?
Le premier festival mondial des lémuriens en 2014 à Tsimbazaza. Je fais partie des organisateurs et acteurs. J’ai beaucoup aimé puisque ça parle de culture et environnement.
Votre actualité ?
Mon groupe Layprint est de retour. Nous sommes en train de tout redynamiser à fond, ça va être chaud. Vive la musique !
Propos recueillis par Aina Zo Raberanto
« Une 19ᵉ édition satisfaisante », s'exultent les organisateurs de la Foire Internationale de Madagascar, alors que le rideau tombe sur cette édition,...
Juin célèbre la langue malgache. Une langue douce, chantante , subtile — que l’on admire, que l’on dit aimer, mais que l’on néglige au quotidien. Mais à sa place, on a un sabir moderne, un étrange cocktail de malgache, de français et d’anglais. Et les jeunes ? Ils jonglent, sans vraiment maîtriser aucune des trois. Alors on s’indigne, on accuse l’école, les réseaux sociaux, l’époque.
Mais ça tape à côté. Les langues sont vivantes, elles mutent, s’adaptent, empruntent. Vouloir figer la langue malgache dans le marbre, c’est oublier qu’elle-même s’est forgée dans les métissages. Au lieu de condamner l’évolution, peut-être faudrait-il l’accompagner avec lucidité. Éduquer sans mépriser. Valoriser sans enfermer. Et surtout, cesser de pleurer une langue qu’on refuse d’habiter pleinement.
Association Mamelomaso - Alahamadibe
L’Association Mamelomaso a célébré, du samedi 29 mars au lundi 31 mars dernier, l'Alahamadibe, le Nouvel An des Malagasy, à Ankazomalaza - Ambohimanga Rova
