En ville avec Auguste Fabrio
29 juin 2024 // Downtown // 4912 vues // Nc : 173

En tant que photographe professionnel spécialisé dans l’événementiel depuis 2016, Auguste Fabrio connait plusieurs adresses intéressantes, surtout à Toamasina, la ville où il a commencé. Il nous livre ses bons plans.

L’endroit ou le quartier préféré de votre ville ?
J’aime le centre-ville, ça représente la ville de Tamatave avec les cocotiers de l’avenue de l’indépendance. Au bord de la mer aussi en buvant des cocos.

Un restaurant coup de cœur à nous commander ?Comme j’adore la soupe, je recommande le restaurant Matehotia. Une des meilleures adresses pour les soupes chinoises de Madagascar.

Votre plat préféré ?
Mon plat préféré, c’est le ravimangahazo (feuilles de manioc)  au coco avec de la viande, que ce soit de la viande de porc ou de zébu. En général, j’aime aussi les plats chinois (tepan, tsa tsiou…). Sinon, je suis un grand fan des fruits de mer sauf les crabes.

Où faire du shopping ?
En général, je n’ai pas trop le temps de faire du shopping alors je fais ça en ligne. Si le temps me permet, je vais dans les friperies à Ankirihiry.

Où commencer et terminer la soirée ?
Moi, je ne sors pas souvent, mais si j’ai l’occasion, je commence à faire des grillades de poisson avec mes potes et ensuite, on finit au bord chez Royality Food, cet endroit est vraiment chaud, surtout le weekend avec les jeunes Tamataviens.

Un endroit pour s’évader le weekend ?
Vu que je suis photographe événementiel, je travaille chaque weekend, et le dimanche, je fais du sport, plus précisément le basketball.

Les bons plans pour les vacances ?
Je dirais Sainte Marie, cet endroit est vraiment calme, paradisiaque, tropical, c’est là-bas que je me sens bien !

L’événement culturel qui vous a marqué ?
C’était en 2015 lors du festival des baleines parrainé par Julien Lepers et le deuxième, c’était en 2022 à Nosy Be pendant le festival Soamaroho, j’étais le photographe officiel de cet événement. J’ai collaboré avec beaucoup d’artistes internationaux et locaux, comme Joeboy, Meithod, Awilo Longomba, Neiman, Wawa, Ambondrona, etc.

Votre actualité ?
Actuellement, je me focalise un peu plus dans la photographie corporate, mais dans deux ans, j’aimerais bien faire une exposition pour mes dix ans de carrière en tant que photographe professionnel.

Propos recueillis par Mpihary Razafindrabezandrina

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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