Toutou : Loyal jusqu’au bug
22 juin 2025 // Media & Add-0n // 4157 vues // Nc : 185

Il y a toujours de la place pour un chien dans une maison. Que ce soit dans le salon ou dans la console de jeux. Car oui, l’amitié humano-canine a transcendé le monde physique pour se dématérialiser. Quand on s’occupe bien de nos compagnons, ils savent nous le rendre. Plus qu’un soutien, le partenaire canidé est lui aussi un héros de l’aventure. Certains jeux ont réussi à retranscrire à merveille cette relation fusionnelle qu’on peut avoir avec ces créatures à quatre pattes.

Call of Duty: Ghosts
On ne vous fera pas l’affront de vous dire ce qu’est Call of Duty. Parmi la multitude de spin-off que la licence a connu, Ghosts est l’un des plus mémorables. Et Riley en est une des raisons principales. Un berger allemand surentraîné, accompagne l’unité d’élite ayant donné son nom au jeu. Mais attention, ce n’est pas juste un animal d’arrière-plan. On peut contrôler Riley, lui donner des ordres, l’envoyer en éclaireur, repérer les ennemis, ou mener des attaques furtives.

Si les CoD les plus récents laissent de côté l’aspect émotionnel de la guerre au profit du grand spectacle, Riley apporte de l’empathie, de la tension, et un attachement inattendu. Oui, vous avez les larmes aux yeux quand il est blessé. Et non, vous n’en avez pas honte.

Fable II
Référence intemporelle des jeux de rôles, Fable II est sans conteste le meilleur épisode de la saga. La liberté qu’il offre aux joueurs nous a permis d’avoir chacun son expérience, notamment grâce à la mécanique des choix moraux, déterminant dans la manière dont notre histoire progresse. Et l’une des forces du jeu, c’est que nous ne vivons pas cette épopée tout seul. Très tôt dans l’aventure, un chiot nous est confié. Ce chien nous suit tout au long de notre vie, grandissant avec nous. Il indique les trésors cachés, attaque les ennemis, nous défend avec bravoure. Mais surtout, il réagit à nos choix de vie. Devenir cruel ou altruiste changera la manière dont il agit. Et dans les dernières heures du jeu, nous serons mis face à une décision déchirante sur son avenir (no spoil, vivez-le). Rarement un jeu n’aura aussi bien simulé le lien affectif profond qu’un humain peut entretenir avec son chien.

Fallout 4
Un monde post-apocalyptique à la suite d'une catastrophe nucléaire, ce n’est pas nouveau. L’homme qui cherche son fils disparu, on l’a déjà vu. Il nous faut une plus-value qui nous donne envie de nous investir dans l’histoire, et surtout le jeu.

C’est là que Dogmeat (oui) entre en scène. Au tout début du jeu, on rencontre ce berger allemand sans maître. Il devient immédiatement notre compagnon. Il nous aide à trouver des objets, attaque les ennemis, déclenche des pièges pour nous protéger, et surtout… il reste avec nous, même quand nous prenons des décisions douteuses. Dogmeat est cette présence rassurante et constante dans un monde où plus rien n’a de repères. Il ne parle pas, mais on sent qu’il comprend tout.

Eymeric Radilofe

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Shows devant !

Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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