FASHIONS BAZAAR
Robe beige pailletée : 40 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins voile Roberto Festa beiges : 300 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Sweat grenat DEVRƎD :
30 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe sexy noire Topshop :
40 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins Wo Milano argentés :
350 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt manches
courtes : 49 000 Ar
Tee-shirt enfant manches
courtes : 45 000 Ar
Short enfant : 39 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt femme manches
courtes : 45 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe Topshop pailletée dorée : 70 000 Ar
VIA MILANO
Sandales Millu Milano noires : 350 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Sweat Vintage Clth
Jack & Jones : 30 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe Topshop pailletée
bleue : 40 000 Ar
VIA MILANO
Sandales Fiodi argentées :
350 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Crop top smock noir
Miss Selfridge : 15 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins Albero en deux
tons blanc et noir : 300 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Tee-shirt bleu : 40 000 Ar
HAYA MADAGASCAR
Sacoche 48h en cuir
de veau local : 800 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Crop top petite Topshop : 15 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins Tiffi verts : 650 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt femme manches
courtes : 45 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt enfant manches
courtes : 45 000 Ar
Short enfant : 39 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt à poche : 54 000 Ar
HAYA MADAGASCAR
Porte-papillon en cuir
de veau local : 90 000 Ar
Pochette-organiseur en cuir
de veau local : 360 000 Ar
Trieur de courrier en cuir
de veau local : 200 000 Ar
Porte-stylo cuir
de veau local : 90 000 Ar
Sous-main en cuir
de veau local : 280 000 Ar
Tapis souris en cuir
de veau local : 120 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe bordeau fleurie
Topshop : 30 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins ouverts Soraya
argentés : 350 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe violet bordeau
Okaïdi : 70 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins Tiffi bordeau :
675 000 Ar
TANOSSI
Tee-shirt manches
longues : 59 000 Ar
Bob : 40 000 Ar
TANOSSI
Robe débardeur
enfant : 45 000 Ar
TANOSSI
Robe adulte :
59 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe longue rouille Miss Selfridge : 70 000 Ar
VIA MILANO
Sandales ouvertes Albero rouges : 250 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Tee-shirt manches longues
Topman : 15 000 Ar
FAHIONS BAZAAR
Robe Promod
noire : 70 000 Ar
VIA MILANO
Escarpins dorés Osvaldo
Rossi : 400 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Polo Topman : 40 000 Ar
HAYA MADAGASCAR
Porte-document à rabat
en cuir de veau local : 240 000 Ar
Cartable en cuir de veau
local : 450 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Robe bustier fleurie
Fashion House : 40 000 Ar
VIA MILANO
Sandales Osvaldo Rossi
roses : 425 000 Ar
FASHIONS BAZAAR
Combi-pantalon noir : 40 000 Ar
VIA MILANO
Sandales ouvertes Fiodi blanches : 350 000 Ar
HAYA MADAGASCAR
Cartable en cuir de veau local : 450 000 Ar
POINTS DE VENTE HAYA MADAGASCAR
- Grand Hôtel Urban Ambatonakanga, Antananarivo
- Hôtel Colbert Antaninarenina, Antananarivo
- Nova Hôtel Talatamaty, Antananarivo
- Showroom Nouveautés, Dyve Garden Anosivavaka, Antananarivo
- Hakanto Shop, Alhambra Ankaditoho, Antananarivo
- Nulle Part Ailleurs, Toamasina
* Pour tout achat chez HAYA MADAGASCAR,
packaging offert (coffret ou sac en papier)
REMERCIEMENTS
Modèles : Sonia, Sarobidy, Bryan, Santien, Mampionona, Mitia
Make up : Réalisé par Samchia
Prise de vue : Le Louvre Hôtel & Spa
Photos : Andriamparany Ranaivozanany
La marque espagnole MartiDerm débarque officiellement à Madagascar ce samedi 6 décembre, avec un lancement organisé au Novotel Alarobia par son distri...
Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.
November Numérique
November Numérique à l'IFM
