En ville avec DJ Bradih
10 février 2022 // Downtown // 4865 vues // Nc : 145

Votre resto favori ?
J’aime le restaurant chinois Perle à Antsakaviro. Il y a également le restaurant indien au rooftop de  l’hôtel Anjary à Tsaralalana.

Votre plat préféré ?
Amateur de cuisine asiatique et indienne, j’adore les épices. Un des plats que j’ai adorés, le rāmen

 (bouillon de nouilles) que j’ai goûté au Chinatown de New York. Quand je serai riche, j’aimerais bien avoir un cuisinier chinois (rires) !

Votre boisson fétiche ?
Une bière blonde bien fraîche, avec modération c’t’évident !

Vos hobbies ?
La natation depuis que j’ai arrêté de fumer. En Norvège, je nage quatre fois par semaine. Quand je suis à Tana, je vais au Colbert à Antaninarenina. Sinon je joue au basket, j’écoute beaucoup de jazz et bien sûr je créé quelques sons !

Un endroit pour faire du shopping ?
Avec des potes, il nous arrive souvent de déballer les balles de friperies, surtout les baskets. On se lève à 6 heures et on va « any antsaha », comme à la récolte !

Les meilleurs plans pour un apéro ou pour terminer la soirée ?
Pour l’apéro, c’est à l’African House à Faravohitra, chez Edgard Ravahatra et Noro, un des meilleurs endroits de Tana pour admirer le coucher du soleil ! Pour terminer la soirée, j’aime bien les pubs comme l’Irish Pub à Ambatonakanga ou un after entre potes à la maison. Bien que je sois DJ, je n’aime pas trop les boîtes de nuit.

Un endroit pour s’évader ?
Ampefy, ce n’est pas très loin de Tana. J’aime bien aller sur les marchés.

Les meilleurs plans pour les vacances ?
Sans hésiter, Anakao dans la région de Toliara. C’est un des meilleurs spots pour faire du surf de bon matin, admirer le coucher du soleil et manger du poisson grillé sur la plage.  

L’événement culturel qui vous a marqué ?
Musique Hors les Murs en 2019 organisé par l’Institut français de Madagascar. J’y ai participé avec d’autres artistes locaux. Une grande scène à l’extérieur, superbe ambiance… C’était génial.

Votre actu ?
Je viens de signer avec un label à Londres, c’est un marché que je convoitais depuis longtemps. Maintenant, j’ai donc trois labels, avec la Norvège et Madagascar. Je compte revenir au pays accompagné de deux DJ Suédois et un DJ Danois pour la troisième édition de Boiler Room. Tout dépendra de la situation sanitaire.


Propos recueillis par Aina Zo Raberanto

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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