Via Milano
Bandoulière blanc cassé rond Michael Kors : 750 000 Ar
Escarpins ouverts Tiffy camel : 390 000 Ar
Pochette nude : 425 000 Ar
Escarpins vernis nude Marcellis : 350 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-documents en cuir de veau : 360 000 Ar
Via Milano
Escarpins en serpent Wo : 350 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-documentsen cuir de veau local : 240 000 Ar
Haya Madagasacar
Porte-ordinateur type enveloppe en cuir de veau local : 300 000 Ar
Pochette-documents à rabat extérieur en cuir de veau local : 240 000 Ar
Via Milano
Boots cuir marron : 350 000 Ar
Boots jaune motard Cole : 350 000 Ar
Tanossi
Tee-shirt femme manches courtes : 45 000 Ar
Tee-shirt enfant manches longues : 54 000 Ar
Tee-shirt manches longues : 59 000 Ar
Haya Madagascar
Porte-clés / bijoux de sac Madagascar en cuir croco local : 112 000 Ar
Pince à billets en cuir de veau local : 100 000 Ar
Pince à billets en cuir croco local : 190 000 Ar
Via Milano
Pochette camel PM Michael Kors : 750 000 Ar
Sandales rouille orange D’Antan : 350 000 Ar
Sandales argentées LiU.Jo : 350 000 Ar
Haya Madagascar
Pochette-organisateur en cuir de veau local : 360 000 Ar
Tanossi
Tee-shirt à poche : 54 000 Ar
Tee-shirt femme manches courtes : 45 000 Ar
Tee-shirt enfant manches courtes : 45 000 Ar
Via Milano
Pochette noire Michael Kors : 750 000 Ar
Sandales noires Chiarini Bologna : 350 000 Ar
Tanossi
Casquette : 34 000 Ar
Bob : 40 000 Ar
Tanossi
Casquette : 34 000 Ar
Tee-shirt manchescourtes : 49 000 Ar
Robe femme : 59 000 Ar
Robe débardeur enfant : 45 000 Ar
Gifi
Fond de teint fluide flacon doseur : 40 000 Ar
Duo enlumineur + contouring : 29 500 Ar
Blush rose glow Glam’up : 28 500 Ar
Poudre compacte Glam’up : 15 000 Ar
Palette ombre à paupières Glam’up : 40 000 Ar
Gloss volumizer Glam’up transparent : 22 500 Ar
Remerciements
Modèles
Annique, Nourella, Santien, Mampionona, Mitia
Make up
Réalisé par Samchia avec les produits Glam’Up distribués par GiFi
Prise de vue
Dzama Cocktail Café ivandry, Antananarivo
Photos
Andriamparany Ranaivozanany
Points de vente Haya Madagascar
Grand Hôtel Urban Ambatonakanga (Antananarivo)
Hôtel Colbert Antaninarenina (Antananarivo)
Nova Hôtel Talatamaty (Antananarivo)
Hakanto Shop, Gallery alhambra (Antananarivo)
Nulle Part Ailleurs (Toamasina)
La rencontre annuelle des passionnées et amateurs de tatouage s'est déroulée dans plusieurs locaux de la capitale les 12, 13 et 14 décembre. Le Havats...
Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.
November Numérique
November Numérique à l'IFM
