Add-on… tu déconnes !
11 septembre 2021 // Media & Add-0n // 1285 vues // Nc : 141

Contenus téléchargeables ou additionnels, ce sont les  « add-on » : ne me regardez pas comme ça ! Ils ont à la base le même objectif, renforcer le plaisir de jeu, mais parfois certains font l’inverse…WTF ?

Le concept de DLC (Down Loadable Contens) existe depuis des décennies dans le jeu vidéo. Dans sa forme moderne, il a pour but d’enrichir l’expérience de jeu en apportant un contenu supplémentaire, mais qui n’est en aucun cas obligatoire pour l’apprécier pleinement. Prenons le cas de The Witcher 3, dont le jeu original se suffit à lui-même. Les DLC, et en particulier Blood & Wine, apportent une réelle plus-value au joueur, mais n’est pas indispensable pour comprendre le jeu de base, et ne change absolument rien à celui-ci. On voit donc ici ceux qui prennent le joueur pour une bonne poire plus que pour un fruit du dragon de première qualité !

Mortal Kombat : Plus fort que toi !
Depuis les débuts de la licence, le principal intérêt de Mortal Kombat a été ses fatalities, des exécutions brutales à la fin du combat. L’un des moments de plaisir étaient de tapoter les boutons jusqu’à découvrir une combinaison qui déclenchait les fameux finishers, une manière de rallonger la durée de vie du jeu. Alors quand les développeurs ont ajouté la liste des combinaisons de touches pour réussir les fatalities, les gamers ont fait la gueule. Mais la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est lorsqu’il devenait possible de faire payer l’option easy fatalities, suite à des plaintes de joueurs alléguant qu’ils étaient trop difficiles à réaliser ! Bref, cela revient à  : « Notre jeu est trop dur pour vous, alors payez plus cher si vous voulez du plus facile ». Ramassez vos dents, ça fait mal.

Asura’s Wrath : Rester sur sa fin
Les DLC ne devraient être que ce qu’ils sont : des chapitres supplémentaires non-obligatoires à une histoire qui a déjà connu une conclusion. Mais pas ici… Et comble du comble, on n’a pas fait chauffer sa carte bleue uniquement pour connaître la fin réelle, ils ont aussi eu la « brillante » idée d’afficher un message nous incitant à dépenser pour la fin secrète ! Quand on se dit que Star Ocean : Second Evolution compte pas moins de cent conclusions possibles à son histoire dans le jeu original…

Street Fighter : Raquer pour jouer ?
Le plus grand intérêt des cosmétiques dans un jeu online, c’est de « flex » (gaspiller) son argent en montrant qu’on a les moyens de se payer les costumes les plus chers du jeu. Mais rien de tout ça avec Street Fighter. Non seulement les palettes de couleurs des personnages sont payantes (alors qu’elles elles sont gratuites chez la concurrence !), mais en plus elles ne sont même pas visibles par nos adversaires lors des affrontements en ligne ! Nous payons pour une faible nuance visuelle que personne ne saura jamais qu’on a été assez tête de nœud pour le faire. Too bad !


Eymeric Radilofe

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Chaque année, le 3 décembre, la Journée mondiale des personnes handicapées nous invite à une réflexion profonde sur l’inclusion, la dignité et les droits des personnes en situation de handicap. Bien plus qu’une journée de sensibilisation, elle constitue un appel à l’action pour bâtir une société réellement accessible à tous, où chacun peut vivre pleinement ses droits et ses aspirations.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus d’un milliard de personnes dans le monde vivent avec un handicap. Cela représente environ 15 % de la population mondiale. Pourtant, malgré ces chiffres, les obstacles à l’éducation, à l’emploi, à la santé et à la participation sociale demeurent omniprésents. La marginalisation des personnes handicapées n’est pas seulement une question de manque d’infrastructures, mais aussi de mentalités à transformer. « Debout ! », le reportage documentaire de la photographe et réalisatrice Felana Rajaonarivelo publié dans notre rubrique GRAND ANGLE fait partie des initiatives qui incitent à voir au-delà du handicap. Des histoires de femmes inspirantes, pleines de rêves et d’espoir. L’inclusion ne consiste pas uniquement à intégrer des rampes d’accès ou à adapter des outils de communication. C’est une démarche globale qui touche à tous les aspects de la vie : éducation inclusive, emploi équitable, accès à la culture, et reconnaissance pleine des capacités de chacun. Il s’agit de dépasser la charité pour embrasser l’égalité et la justice sociale. En sensibilisant dès le plus jeune âge, on favorise une génération future plus ouverte et respectueuse des différences.

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Modèles: Mitia, Santien, Mampionona, Hasina, Larsa
Photographe: Parany
Equipe de tournage: Vonjy
Prises de vue : Grand Café de la Gare, Soarano
Réalisation: no comment® studio
Collaborations: Tanossi – Via Milano – Haya Madagascar

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