Laser & Sens : Adieu le stress !
24 novembre 2023 // Beauté & Bien être // 3802 vues // Nc : 166

Journées de fatigue, stress, et courbatures, ces maux ne s’effacent pas d’un coup de baguette magique… mais à la main. Malalatiana a décidé de les enlever en passant une heure au centre de bien-être Laser & Sens. Dans son centre à Ankadimbahoaka, l’équipe reçoit la jeune femme pour un massage total. Malalatiana tombe dans les mains de Mirantso, masseuse professionnelle, aux techniques peu habituelles.

Soulager le stress. Le massage de la tête de Mirantso diffère de l’habituel cercle sur la tempe. La masseuse passe par le haut, les côtés, et à l’arrière avec une pression suffisamment forte pour détendre et laisser le stress se dissiper. Malalatiana  est aux anges. Mirantso descend doucement vers le cou, vers l’avant, puis les trapèzes, avec un plus grand effort. Des courbatures à l’épaule gauche s’effacent vite, sous peu de douleur. Travailleuse de bureau, Malalatiana laisse apparaître des rougeurs au cou, mais ce ne sont que des signes que le muscle se détend. La professionnelle descend le long des bras en pressant. Première partie fait en cinq minutes, l’étape passe d’anti-stress à détente complète.

Mirantso enduit ses mains d’huile relaxante Homepharma à base de camphrier (Ravintsara), puis applique une pression moyenne sur l’épaule. L’experte continue vers les trapèzes, puis le côté gauche du dos. La masseuse finit par glisser doucement le long des côtes, avant de revenir sur le côté droit, pour reprendre le même processus. Des rougeurs au dos de Malalatiana, mais la spécialiste explique chaque mouvement. « Les muscles détendus facilitent la circulation du sang, et créé un soulagement général pour le corps. » Les courbatures à l’épaule de Malalatiana s’enlèvent peu à peu. La professionnelle passe les disques intervertébraux par la technique de la chenille, nouvelle méthode qui fait passer les deux pouces le long de la colonne. Du muscle fessier aux jambes, Mirantso appuie sur les parties sensibles pour repérer les maux inconnus de Malalatiana. Un massage à la jambe droite, puis gauche, vers les hanches, et elle découvre les douleurs le long du nerf sciatique. Si bien enfouies, ceux-ci peuvent bien se dissiper après quelques séances.

Bien-être, éveil, et enfin thérapie. Sur la plante des pieds, Mirantso trace une technique qui, selon l’experte, permet de renforcer le système immunitaire et d’améliorer la défense du corps. Ses mouvements arrivent jusqu’à la pointe des pieds, puis Malalatiana est retournée pour un massage au thorax. « Le thorax et le dos sont reliés par le plexus, et toucher l’un implique de passer par l’autre pour que le massage soit bien efficace. » Les mains de l’experte passent au niveau de la poitrine pour libérer la trachée et continuent vers les côtes du côté gauche, puis droite, avant de finir avec les mains, l’avant-bras, et le bras. Malalatiana confie en être ressortie entièrement détendue et satisfaite : un moment de détente et remise en forme qui vaut bien son coût.

Propos recueillis par   Rova Andriantsileferintsoa

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Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

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Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

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