En ville à Diego Suarez avec Tosy Yane
20 novembre 2024 // Downtown // 7565 vues // Nc : 178

Tosy Yane est restauratrice au Raphia à Diego Suarez. Cette ancienne sensation de Pazzapa 2 est aussi compositrice interprète, et coréalise ses œuvres musicales. En dehors de son restaurant/bar/karaoké et son studio, elle sait bien où aller dans sa ville.

L’endroit ou le quartier préféré de votre ville ?
C’est Place Kabary à Diego Suarez.

Où commencer et terminer la soirée ?
J’adore commencer à La Cambusa bar pour son ambiance conviviale, et au Raphia pour terminer, c’est la fiesta assurée !

Un restaurant coup de cœur à nous recommander ?
L’Eurasia, l’accueil y est chaleureux et leurs plats sont réconfortants.

Votre plat préféré ?
Je suis une inconditionnelle du ravitoto au coco, avec de la viande de zébu. J’adore aussi le sahoaba au manioc et au coco.

Un endroit pour s’évader le weekend ?
Joffreville avec son parc envoûtant !

L’événement culturel qui vous a marqué ?
Stritarty, le festival des arts urbains à Diego.

Votre actualité ?
Je prépare quelques morceaux. « Matokisa » (« Aie confiance ») et « Ahy ianao izaho anao » (« Tu es mien et je suis tienne »), ce sont des chansons écrites et produites par moi-même. J’ai aussi préparé une collaboration avec les proches de Dadah Rabel le 26 octobre dernier au Millénium France.

Propos recueillis par Mpihary Razafindrabezandrina

Photo : Tina Daniel Andrinirina
Contact Le Raphia : 0320561911

Laisser un commentaire
no comment
no comment - Cinéma : Madagascar entre dans l'histoire

Lire

9 décembre 2025

Cinéma : Madagascar entre dans l'histoire

Disco Afrika, réalisé par Luck Razanajaona, devient le premier film malgache soumis aux 98ᵉ Oscars dans la catégorie Meilleur film international, aprè...

Edito
no comment - Shows devant !

Lire le magazine

Shows devant !

Décembre arrive et, comme chaque année, Madagascar se réveille culturellement.
Soudainement, les salles de spectacle se remplissent, les artistes sortent du bois, les concerts s’enchaînent. C’est la saison des festivités de Noël mêlant sacré et profane, et des expositions de dernière minute. Bref, tout le monde s’active comme si l’année culturelle se jouait en un seul mois. Et franchement, il y a de quoi se poser des questions. On ne va pas se mentir : les artistes malgaches ne sont pas là uniquement pour nous divertir entre deux repas de fête. Ils bossent, ils créent, et à leur niveau, ils font tourner l’économie. Le secteur culturel et créatif représentait environ dix pour cent du PIB national et ferait vivre plus de deux millions de personnes. Pas mal pour un domaine qu’on considère encore trop souvent comme un simple passe-temps sympathique, non ?
Alors oui, ce bouillonnement de décembre fait plaisir. On apprécie ces moments où la création explose, où les talents se révèlent, où la culture devient enfin visible. Mais justement, pourquoi faut-il attendre décembre pour que cela se produise ? Pourquoi cette concentration frénétique sur quelques semaines, alors que les artistes travaillent toute l’année ? Des mouvements sont actuellement en gestation pour revendiquer leur statut d’acteurs économiques essentiels et pour que l’on accorde à nos créateurs une place réelle dans la machine économique du pays. La culture malgache vaut bien mieux qu’un feu d’artifice annuel. Elle mérite qu’on lui accorde l’attention qu’elle réclame douze mois sur douze.

No comment Tv

Making of shooting mode – Novembre 2025 – NC 190

Retrouvez le making of shooting mode du 𝗻𝗼 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁® magazine, édition novembre 2025 - NC 190
Prise de vue : no comment® studio 
Collaborations : Tanossi – Via Milano mg – HAYA Madagascar - Akomba Garment MG 
Make up : Réalisé par Samchia 
Modèles : Lana, Judicaël, Catuchia, Faravavy, Tojo, Mitia, Santien, Mampionona 
Photos : Andriamparany Ranaivozanany

Focus

November Numérique

November Numérique à l'IFM

no comment - November Numérique

Voir